28 mai 2006
Les mots sont comme ton corps des mailles qu'on
Les mots sont comme ton corps des mailles qu'on effleure
Sur la terre des gisants, compter les ans passés,
Contempler dans tes yeux, les larmes de tes fleurs,
Savoir qu'en te voyant nombreux ont trépassé.
Je rêve de vices absolus, d'absoultes et de sévices
Las l'aube blanche est morte d'être passée
Une rivière à ton front, des années dépassées
Un baiser sur ton coeur, mon âme à ton service.
Sophie.
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