28 mai 2006
Les mots sont comme ton corps des mailles qu'on
Les mots sont comme ton corps des mailles qu'on effleure Sur la terre des gisants, compter les ans passés, Contempler dans tes yeux, les larmes de tes fleurs, Savoir qu'en te voyant nombreux ont trépassé. Je rêve de vices absolus, d'absoultes et de sévices...