13 août 2010
Des effrois dévoyés Aux errances délétères Des
Des effrois dévoyés
Aux errances délétères
Des jours où l'on s'enterre
On s'efforce d'aimer
Sourire d'effroyer
Plus écorché que vif
La fin où l'on se terre
On s'efforce d'aimer
Aimer jusqu'à ses fers
Dans l'alcool des jours
Ruer dans les brocards
Et la soie des toujours
L'aube est d'une haveur de suaire, blanche aube,
Clouée sur une porte à l'espoir des demains
Je n'ai plus dans le coeur, ni latence, ni chagrin,
Jusant d'un ciel de traine, du sable dans les mains.
Sophie
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