Soledad.

Egon Schiele "nu debout"

Des espoirs des errances

Des rêves de transes

Fouille des yeux le noir

Débusque la lumière

Dans le limon des mots

Pétillent les pépites

Les regards d'assassines

Jais abyssins

M'usent, lutinent

L'aube se lève

Un couperet froid

Tranchant de l'âme

Tu rentres seule

Le pardon sur ton dos

Ce trop vieux pardessus

Une blessure blème

Te surine le coeur

Un rire déchire le suaire des spectres

Rideau.

Sophie.  

Comments

[Miss Lili]

poésie est une clameur, elle doit être entendu ...j'aime entendre le son de tes mots, bise poétique