5 février 2006
L'amère qu'on voit danser
Elle va si loin cette nostalgie
Quand j'étais grande, quand j'étais petite
Elle a un air d'Espagne, elle me vet comme un pagne
Un paréo quand c'est l'hivers
Le coeur amer dont on sait faire
Un vrai feu de cocagne, un amour que l'on gagne.
Et je suis lasse, amère, ma vie est un sceau dans l'antre des terres
Mon coeur, cet apocryphe, étais un seau que tu aimais naguère
Lorsque le coeur de l'autre était une terre vierge...
Et je suis là comme un débourd, un tier vivante, deux tier balourde,
J'envie le destin funeste de la palourde, vivante morte, et mangée crue
Je t'ai aimée en vrai et jamais crue
Sophie
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